Ni enfants, ni invitation chez des amis,
je me prépare pour une soirée à nous deux. Tu ne devrais pas tarder à arriver.
Tu sonnes, tu m’avais demandé d’attendre la porte entre ouverte. Première faute, je n’ai pas osé le faire. Je me précipite vers la porte et ouvre.

- Bonsoir Maître ! dis-je

Tu me réponds pas. Tu me pousses légèrement en direction du salon. La surprise me fige quelques secondes. Je m'attendais à détendre l'atmosphère par une discussion sympa.

Je recule. Je suis même intimidée.

Tu prends possession des lieux comme Tu as pris possession de moi depuis longtemps

Tu es debout au milieu de la pièce. Tu me demande d'approcher. Je me place devant Toi et je n'ose pas bouger et encore moins parler. J'attends le moindre signe. Je suis à l'affût du prochain commandement. Déjà je constate que j'ai cédé tout pouvoir et que cette mise en scène déstabilisante ne me laisse pas le temps de réfléchir et d'avoir peur.
Je sens Ton regard sur moi. Comme s'il s'agissait de la première fois que Tu me vois. J’ai, comme Tu me l’as demandé, les yeux bandés. Je ne peux voir Ton regard, je le sens pourtant sur mon corps, caressant, possessif, apaisant
Je sursaute soudain. Ta main s'est posée sur mes fesses. Je la sens descendre doucement jusqu'au bas de ma jupe puis remonter sous celle-ci en caressant mes fesses puis disparaître.
- Bien. Tu es nue sous ta jupe comme je l'ai demandéJe Te sens ensuite passer Tes bras autour de mes épaules. Je constate que dans Tes mains se trouve déjà ta ceinture. Tu la fait tourner autour de mon cou. J'aime sentir le cuir sur ma peau. J'aime sentir cette présence qui me rappelle sans cesse que j'ai choisi de me soumettre.
Tu reviens devant moi mais je Te trouve trop loin. Un ou deux mètres doivent nous séparer et me semblent des kilomètres tellement j'ai envie de Te toucher, de sentir Ta peau.
- Sors tes seins par le décolleté. Je veux les voir.Je fais la moue. J'espérais Tes mains sur mon corps. J'étire mon chemisier vers le bas et plonge la main droite pour en sortir le sein gauche puis le droit. J'ajuste le tout pour les mettre bien en vue. Je me trouve grossière ainsi exhibée. Tu sais que je n’aime pas être ridicule, que j’aime toujours être belle pour Toi. Mais j'ai appris il y a longtemps, qu'avec Toi à certain moments je n’ai qu’à me taire et à obéir. Ma coquetterie n'a plus sa place dans ces moments. Je ne peux choisir les angles qui m'avantagent, les trucs qui me mettent en valeur. C'est humiliant.
J'attendais un commentaire. Mais rien. Que le silence qui me rappelle encore que rien ne se passera comme moi je l'ai imaginé, comme je le souhaiterais
- À genoux !
Je m'empresse de m'agenouiller.
- Joue avec tes seins. Caresse-les ! Fais durcir tes mamelons. Pince-les !.
Je m'attarde sur mes seins. Les malaxe avec vigueur. Un peu frustrée que ce ne soit pas Tes mains qui les brusque ainsi, Tes doigts qui les étirent.
- Remonte ta jupe sur tes hanches. Je veux voir ton cul. Tu sais que je l’adore !
Je lâche mes seins et m'exécute, attendant la suite des événements. Tu joues un peu avec mes fesses et ton fouet qui a fait une apparition soudaine....
Tu tiens bien serré la ceinture autour de mon cou. Je sens Ton emprise. Tu me demandes rien mais je sais ce que Tu attends. Je déboutonne ton pantalon et en sors Ton sexe déjà durci de m'avoir observé ainsi.
Oh oui, je sais quoi faire. Et depuis que Tu m’interdis de jouir, j'en ai envie sans arrêt !
J'empoigne ton sexe fermement et en approche mon visage. J'hume Ton odeur qui m'enivre de désir. Je le caresse à peine car je sais que Tu aimes que je le prenne immédiatement en bouche. J’ouvre la bouche. Je sors ma langue et y pose Ton gland. J'entame ensuite une fellation gourmande. Je lèche, je suce, j'aspire, j'engloutis. Je suis extrêmement excitée et ma main libre empoigne mon mamelon gauche et le pince violemment créant une décharge électrique jusqu'à mon clito qui réclame aussi de l'attention. Ma main se dirige ensuite vers celui-ci et je me masturbe frénétiquement en continuant de Te sucer goulûment. Mon geste n'est pas passé inaperçu.

- Je t'ai dit de t’occuper de toi ? Me demandes-Tu.
- Non. Je suis désolée.
- Tu aimes vraiment trop ça ! Met-toi à 4 pattes.